About: http://data.cimple.eu/claim-review/eadba4fbc1339719a183425b3bb6546a5f9a21ee07b8d6d78e3f1787     Goto   Sponge   NotDistinct   Permalink

An Entity of Type : schema:ClaimReview, within Data Space : data.cimple.eu associated with source document(s)

AttributesValues
rdf:type
http://data.cimple...lizedReviewRating
schema:url
schema:text
  • Coronavirus : Non, l'AP-HP ne réalise pas un essai clinique illégal sur la troisième dose de vaccinFAKE OFF•Un tweet viral laisse entendre, à tort, que l'AP-HP a entamé des essais cliniques sur ses soignants en dehors de tout cadre légal Alexis Orsini L'essentiel - A en croire un tweet repris par de nombreux internautes (et des publications Facebook similaires), l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) viendrait d'entamer des essais vaccinaux sur ses soignants hors de tout cadre légal. - Cette affirmation virale s'appuie sur l'annonce, par l'institution hospitalière, de l'essai clinique « Coviboost ». - Si cet essai vient bien de débuter, il est réalisé sur des volontaires, selon un cadre réglementaire strict, et concerne la troisième dose de vaccin anti-Covid-19. Alors que l’épidémie de Covid-19 connaît un regain en France ces dernières semaines, l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) se livrerait à des essais cliniques douteux sur ses soignants. Du moins si l’on en croit le virulent message d’une utilisatrice de Twitter, publié le 8 décembre. « Bien tranquillement, sans que personne n’en soit estomaqué, l’AP-HP fait donc un essai clinique sur la 3ème dose de ces [vaccins], qui sont pourtant déjà obligatoires pour ses soignants. Un essai, dans l’essai de phase 3, donc. Comment est-ce possible ? De qui se moque-t-on ? », affirme-t-elle, en illustrant ses propos de la capture d’écran d’un tweet de l’AP-HP évoquant le « début des inclusions de l’essai COVIBOOST » pour les « doses de rappel » des vaccins contre le Covid-19. Si ce tweet de l’établissement hospitalier francilien est authentique, l’interprétation qu’en fait cette internaute – et de nombreux autres sur Facebook – laisse entendre que cet essai concerne des soignants et qu’il se ferait hors de tout cadre légal. FAKE OFF La lecture du communiqué relayé dans le tweet de l'AP-HP permet de clarifier cette confusion. « L’essai Coviboost vise à étudier la réponse immunitaire des deux candidats vaccins à base de protéine recombinante associée avec un adjuvant développé par Sanofi Pasteur et GSK et celle d’une 3e dose du vaccin Pfizer-BioNTech », y explique l’AP-HP. Le groupe hospitalier précise en outre que cet essai concerne notamment « 300 participants ayant préalablement reçu deux doses du vaccin Pfizer-BioNTech (2e dose reçue dans un délai de 5 à 7 mois) et sans antécédent de Covid-19 », dont « la moitié [est] âgée de de 65 ans et plus ». Ces volontaires doivent recevoir « aléatoirement en dose de rappel : le vaccin ARNm de Pfizer-BioNTech (Comirnaty) [ou] le vaccin adjuvanté à protéine recombinante de Sanofi-Pasteur/GSK basé sur la souche originale du virus [ou] le vaccin adjuvanté à protéine recombinante de Sanofi-Pasteur/GSK basé sur le variant Beta ». De potentiels avantages « en termes d’efficacité et de sécurité » Et si « cet essai randomisé en double aveugle, promu par l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, [est] mené [à compter du 8 décembre] dans onze centres hospitaliers du réseau Covireivac coordonné par l’Inserm », l’AP-HP précise à 20 Minutes que « neuf de ces centres ne relèvent pas de l’AP-HP ». Comme l'indique de son côté la plateforme Covireivac, dédiée aux personnes volontaires pour les tests de vaccin anti-Covid-19, « l’administration d’une 3e dose d’un vaccin différent pourrait […] présenter des avantages en termes d’efficacité et de sécurité, mais aussi en termes de coût et d’acceptabilité ». « Les données de l’essai permettront de mesurer la réponse immunitaire induite par les trois vaccins étudiés en rappel, et son efficacité sur les différents variants mais aussi sa persistance à 3 et 12 mois, en fonction de l’âge », ajoute-t-elle, en soulignant que « la participation de personnes de 65 ans [et plus] est particulièrement importante pour inclure la composante de l’âge ». Covireivac précise enfin que « les essais cliniques sont réglementés » et ne peuvent débuter, en France, « sans au préalable avoir reçu un avis favorable du comité de protection des personnes et une autorisation de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) ».
schema:mentions
schema:reviewRating
schema:author
schema:datePublished
schema:inLanguage
  • French
schema:itemReviewed
Faceted Search & Find service v1.16.115 as of Oct 09 2023


Alternative Linked Data Documents: ODE     Content Formats:   [cxml] [csv]     RDF   [text] [turtle] [ld+json] [rdf+json] [rdf+xml]     ODATA   [atom+xml] [odata+json]     Microdata   [microdata+json] [html]    About   
This material is Open Knowledge   W3C Semantic Web Technology [RDF Data] Valid XHTML + RDFa
OpenLink Virtuoso version 07.20.3238 as of Jul 16 2024, on Linux (x86_64-pc-linux-musl), Single-Server Edition (126 GB total memory, 11 GB memory in use)
Data on this page belongs to its respective rights holders.
Virtuoso Faceted Browser Copyright © 2009-2025 OpenLink Software