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  • : Vrai ou faux Guerre entre le Hamas et Israël : trois informations vérifiées sur la situation des otages israéliens C'est un accord salué par la France comme par les États-Unis. Dans la nuit de mardi 21 à mercredi 22 novembre, le Hamas a accepté de libérer une cinquantaine d'otages israéliens parmi les 240 qu'il détient depuis son attaque terroriste du 7 octobre en échange de la libération de prisonniers palestiniens. Une trêve de quatre jours doit également commencer dans la bande de Gaza. Depuis le début de la prise d'otages, plusieurs fausses informations ou informations partielles ont circulé sur les réseaux sociaux. Franceinfo fait le point sur trois d'entre elles : un présumé tour de gardes dans l'hôpital al-Rantissi, un témoignage supposément tronqué et des ONG accusées d'être trop silencieuses. Document retrouvé dans un hôpital de Gaza : il s'agissait d'un simple calendrier L'armée israélienne a diffusé plusieurs vidéos et photos ces dernières semaines pour prouver que les otages israéliens ont été détenus dans des hôpitaux de la bande de Gaza par le Hamas, dans le but notamment de prouver que le Hamas enfreint le droit international en utilisant des hôpitaux dans le cadre d'une guerre et aussi de justifier le fait que les soldats israéliens aient pris ces hôpitaux pour cible, comme le Vrai ou Faux l'a déjà expliqué. L'une de ces vidéos, publiée le 13 novembre sur X, montre le porte-parole de l'armée israélienne dans ce qui est présenté comme les sous-sols de l'hôpital al-Rantissi. Daniel Hagari montre un document accroché à un mur et affirme que "c'est une liste de gardes où chaque terroriste écrit son nom et a son propre tour de garde". Selon lui, ce document, avec plusieurs autres objets trouvés au même endroit, prouve que des otages y ont bien été détenus. EXCLUSIVE RAW FOOTAGE: Watch IDF Spokesperson RAdm. Daniel Hagari walk through one of Hamas' subterranean terrorist tunnels—only to exit in Gaza's Rantisi hospital on the other side.— Israel Defense Forces (@IDF) November 13, 2023 Inside these tunnels, Hamas terrorists hide, operate and hold Israeli hostages against their… pic.twitter.com/Nx4lVrvSXH Mais en réalité il ne s'agissait que d'un simple calendrier écrit en arabe, comportant les dates et les jours, selon France 24 qui l'a fait traduire. Ce document ne permet donc pas, en soi, d'affirmer ni de prouver que des otages ont été détenus dans cet établissement de santé. Cet exemple montre toute la prudence, toute la distance qu'il faut avoir en regardant les images de ce conflit. Cela s'applique aussi aux vidéos publiées récemment par l'armée israélienne qui, selon l'État hébreu, montrent des combattants du Hamas amener des otages dans l'hôpital al-Shifa. Seule une enquête indépendante pourra les authentifier. Une ancienne otage, "battue" puis "bien traitée" Le 24 octobre dernier, Gilles-William Goldnadel dénonçait "encore un mensonge de franceinter" dans un message publié sur X, après la diffusion du témoignage d'une ancienne otage du Hamas, qui a été libérée en raison de son âge et de sa santé. "À l'instant, la journaliste de sévices publics prétend que la femme âgée prise en otage et libérée indique qu'elle aurait été 'bien traitée'. J'ai entendu son interview en hébreu où elle indique avoir été battue. À vomir", écrivait l'avocat et chroniqueur. D'autres médias ont été accusés de tronquer son témoignage dans l'autre sens, en se concentrant sur les violences que cette femme disait avoir subies, sans parler des bons traitements qu'elle relatait aussi. Une otage israélienne libérée par le #Hamas palestinien a raconté mardi avoir "traversé l'enfer", été "battue" lors de son enlèvement mais "bien traitée" lors de sa captivité de plus de deux semaines dans la bande de #Gaza ⬇ pic.twitter.com/hNUfpyywSW— FRANCE 24 Français (@France24_fr) October 25, 2023 Comme il est possible de le constater dans son témoignage diffusé sur France 24 et sur i24, l'otage israélienne libérée dit les deux choses à la fois, même si elles apparaissent contradictoires. Elle parle en réalité de deux moments différents. D'abord du rapt, qui a été horrible, extrêmement violent, pendant lequel elle a été "battue". "Les gars m'ont battue sur le chemin, ils ne m'ont pas cassé les côtes mais m'ont fait très mal et j'avais beaucoup de mal à respirer", relatait-elle, selon la traduction de France 24. Avant d'ajouter qu'ensuite, pendant la détention, "les gardiens ont été très courtois. Ils ont veillé à ce que nous restions propres et à ce que nous mangions. Nous avons mangé la même chose qu'eux, une fois par jour". Selon la traduction de i24, les gardiens ont été "très corrects", voire "amicaux". Oui, les ONG ont appelé à la libération des otages C'est un édito politique qui a été beaucoup partagé sur les réseaux sociaux et qui a choqué. Le 1er novembre, la journaliste Ruth Elkrief a dénoncé sur LCI "le grand silence des ONG" sur les otages israéliens détenus par le Hamas, affirmant ne pas avoir trouvé de traces d'une demande de libération des otages ou d'inquiétude sur leurs conditions de détention sur leurs sites internet. "Et ce silence est une douleur de plus", concluait-elle. Mais c'est faux. Amnesty International a réagi à ses accusations sur le réseau social X, dénonçant des propos "faux et calomnieux". En vérité, l'ONG humanitaire a publié plusieurs communiqués appelant à leur libération, dont un le jour même de leur enlèvement, le 7 octobre. D'autres ont suivi, notamment le 12 octobre. Oui, nous appelons à la libération immédiate et sans condition de tous les otages.— Amnesty International France (@amnestyfrance) November 7, 2023 Nous avons dénoncé l’enlèvement de plus de 200 civils par les groupes armés palestiniens, dont le Hamas. La prise d’otages constitue un crime de guerre.https://t.co/RkFK6HMxAq Idem pour le Comité international de la Croix Rouge (CICR), qui a aussitôt rappelé dans un communiqué que le droit international interdisait les prises d'otages. Quant à Médecins sans frontières (MSF), l'ONG a signé une pétition réclamant leur libération le 18 octobre, bien avant la prise de parole de Ruth Elkrief, comme elle le rappelle sur son site internet. Lancez la conversation Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.
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