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  • Affaire Pierre Palmade : Qualifié de « truqué », l’AVC de l’humoriste avait toutes les raisons d’arriverFAKE OFF•Après l’AVC de l’humoriste, de nombreux internautes se sont interrogés sur le timing de l’accident L.F. L'essentiel - Samedi, plusieurs médias ont annoncé que l’humoriste Pierre Palmade avait fait un AVC alors qu’il était assigné à résidence sous bracelet électronique à l’hôpital Paul-Brousse. - Depuis le grave accident qu’il a provoqué le 10 février sous l'empire de la cocaïne, l’homme est mis en examen pour « homicide et blessures involontaires ». Sur Twitter, de nombreux internautes questionnent le timing de son AVC : l’accident serait-il truqué pour sortir l’humoriste de l’affaire ? - Pour y répondre, 20 Minutes a étudié les multiples facteurs possibles pouvant provoquer un AVC. Revirement dans l’affaire Palmade. Ce samedi, l’humoriste a été victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) à l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif (Val-de-Marne). Après l’annonce, de nombreux internautes questionnent le timing de cet accident. « En France il y a 150.000 AVC par an sur 58.000.000 habitants, soit une probabilité de 0,26 %. Ajoutez à cela l’improbable timing d’une période de 10 jours sur 365, c’est ridicule », calcule un internaute sur Twitter. « Là, c’est sûr qu’il n’ira pas en prison ! C’est arrangé tout ça ! Qui le protège ? », fustige une autre. Si ce lundi, la cour d’appel de Paris a tout de même décidé de placer Pierre Palmade en détention provisoire, il est important de revenir sur cette prétendue manipulation. En vue des circonstances et de sa santé, il est tout à fait probable que l’humoriste ait réellement été victime d’un AVC, sans qu’il soit inventé. 20 Minutes revient sur ces facteurs aggravants pouvant expliquer l’accident. FAKE OFF Depuis le début de l’enquête, plusieurs éléments ont été dévoilés autour de la vie privée de Pierre Palmade, notamment sur sa consommation de drogues. Après son accident de voiture, le 10 février, les tests à la cocaïne et à d’autres substances se sont avérés positifs. Des études se sont déjà attardées à prouver que la cocaïne pouvait provoquer des AVC. D’après un travail publié à l’occasion de l’International Stroke Conference, en 2014, la consommation de cette drogue multiplierait par sept le risque d’AVC dit « ischémique » [occlusion d’une artère dans le cerveau]. Ils auraient lieu dans les 24 heures après la prise. D’autres drogues peuvent également avoir cet effet : le cannabis, l’ecstasy, les opioïdes, le LSD et la PCP [Phéncyclidine]. De multiples facteurs additionnés De son côté, la directrice générale de Fondation pour la recherche sur les AVC, Emmanuelle Gourtray reste plus prudente. Selon elle, aucune étude ne montre véritablement un lien de cause à effet. C’est un facteur de risque, certes, mais ce n’est pas le seul. D’autres éléments peuvent également rentrer en compte dans l’affaire Palmade : la fatigue et le stress post-accident ou l’âge de l’humoriste [54 ans]. En effet, une étude publiée dans The Lancet en 2005 montrait qu’après 55 ans, le risque d’AVC doublait à chaque décennie. La consommation d’alcool ou le surpoids peuvent également constituer des circonstances aggravantes dans d’autres cas. D’autres facteurs sont également mis en avant sur le site de l’Inserm. « Le niveau de pression artérielle, l’excès de cholestérol, le diabète, l’obésité, la fibrillation auriculaire, le tabagisme, une consommation d’alcool excessive et la sédentarité ». Des risques majoritairement modifiables Des études ont également montré que la grande majorité des AVC dépendaient en réalité de risques modifiables. Une étude également publiée dans The Lancet cette année montre que le tabac par exemple doublait le risque d’AVC (voire le quadruplait avant 50 ans). La consommation d’alcool et la sédentarité sont également mises en cause dans l’étude. D’après le neurologue et président de la Société française neuro-vasculaire (SFNV), le Pr Serge Timsit, interrogé par France Info, « 90 % des accidents vasculaires cérébraux dépendent de dix facteurs de risque modifiables ». A contrario, d’autres facteurs sont non modifiables, explique la revue Médecines sciences : l’âge, le sexe [l’incidence est plus élevée chez les hommes], ou les facteurs ethniques ou socio-économiques et culturels. Enfin, un antécédent familial d’AVC multiplie par deux le risque. À lire aussi
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